P 03 : Histoire

 

Datée du 9 février 1656 ; selon Fouillou, elle a été écrite par Pascal à Paris, avec une collaboration d’Arnauld. Selon le catalogue Fouillou, « M. Arnauld a eu part à la 3e ». Elle commence à paraître le 12. Voir l’édition Cognet, qui cite le Journal de Saint-Gilles.

GEF IV, p. 181 sq. Voir la notice p. 191 sq. On ne sait pas quel en fut l’imprimeur ; une seconde édition semble en avoir été faite chez Langlois le 30 mars.

Voir PASCAL, Œuvres complètes, éd. Mesnard, I, p. 470, pour le 27 janvier 1656. Voir p. 473 sq., le Journal de Saint-Gilles. Le succès de la IIIe lettre : p. 474.

BAUDRY DE SAINT-GILLES D’ASSON Antoine, Journal d’un solitaire de Port-Royal, éd. Ernst et Lesaulnier, Paris, Nolin, 2008, p. 163. Saint-Gilles ne parle pas de la quatrième Provinciale.

JOVY Ernest, Etudes pascaliennes, IX, Le Journal de M. de Saint-Gilles, p. 127. Date du 12 février 1656 : « La troisième lettre à un Provincial touchant les matières de la grâce, et particulièrement sur la censure de la lettre de M. Arnauld par les Molinistes, a commencé aujourd’hui à paraître avec un éclat et applaudissement encore plus grand que les deux précédentes. On en a donné par Paris et envoyé dans les provinces par douzaines et le succès qu’on en apprend partout est incroyable. On éprouve que ces petites pièces font beaucoup plus d’effet que les autres plus longues et plus considérables, car en peu de temps on y est agréablement instruit de la vérité. Cela choque de plus en plus les adversaires qui pour cela font mettre en campagne les mouchards à toutes les imprimeries, en sorte que la difficulté et les frais de l’impression en sont extraordinaires. Cela n’empêche pas que Port-Royal et les amis de ce lieu n’en fassent toutes les dépenses nécessaires, et partout où il va de la gloire de Dieu et de la vérité, l’or et l’argent leur sont de la boue, ce qui m’a toujours beaucoup édifié ».

RAPIN René, Mémoires du P. René Rapin, de la Compagnie de Jésus, sur l’Eglise et la Société, la Cour, la Ville et le Jansénisme, 1644-1669, publiés pour la première fois d’après le manuscrit autographe, éd. Aubineau, II, p. 359 sq.

Œuvres, I, éd. Le Guern, p. 1151 sq.

30 janvier 1656. Lettre de Pontchâteau à Saint-Gilles

BAUDRY DE SAINT-GILLES D’ASSON Antoine, Journal d’un solitaire de Port-Royal, éd. Ernst et Lesaulnier, Paris, Nolin, 2008, p. 248 sq.

30 janvier 1656. Réunion de seize docteurs favorables à Arnauld chez Pontchâteau

BAUDRY DE SAINT-GILLES D’ASSON Antoine, Journal d’un solitaire de Port-Royal, éd. Ernst et Lesaulnier, Paris, Nolin, 2008, p. 152. Préparation d’un acte de protestation contre la censure.

Voir ibid., p. 634-636, la lettre de Pontchâteau du 30 janvier 1656.

30 janvier 1656. Saint-Amour fait mine de partir pour Sartrouville, afin de se ménager une retraite cachée

BAUDRY DE SAINT-GILLES D’ASSON Antoine, Journal d’un solitaire de Port-Royal, éd. Ernst et Lesaulnier, Paris, Nolin, 2008, p. 153.

31 janvier 1656. Nicolaï fait distribuer son Avis délibératif aux portes de la Sorbonne

JOUSLIN Olivier, « Rien ne nous plaît que le combat ». La campagne des Provinciales de Pascal. Étude d’un dialogue polémique, I, Clermont-Ferrand, Presses Universitaires Blaise Pascal, 2007, p. 43 sq. Analyse de l’Avis. Le p. Nicolaï est tenant d’une théologie spéciale sur la grâce, qu’il a expliquée dans ses ouvrages. Il fait distribuer son Avis, qu’il n’a pu prononcer jusqu’au bout, le 31 janvier aux portes de la Sorbonne : p. 258. Voir p. 1054.

31 janvier 1656. Dernière séance en Sorbonne. Antoine Arnauld refuse de se soumettre et se voit donc rayé de la liste des docteurs.

ARNAULD Antoine, Œuvres, XIX, p. LXI, LXIII.

GEF IV, p. 184. Texte de la censure.

JOVY Ernest, Etudes pascaliennes, IX, Le Journal de M. de Saint-Gilles, p. 116-117. La copie de la censure est envoyée à Arnauld. Réaction d’Arnauld rapportée par Fontaine : p. 117.

GRES-GAYER Jacques M., Le jansénisme en Sorbonne, 1643-1656, p. 183. La majorité des docteurs décide de faire signer la condamnation par tous les membres présents et à venir de la Faculté.

GAZIER Augustin, Histoire générale du mouvement janséniste, I, p. 102 sq.

ADAM Antoine, Du mysticisme à la révolte, p. 221.

JOUSLIN Olivier, Pascal et le dialogue polémique, p. 1054.

Le 31 janvier, Charles Nonet déclare solennellement que, depuis le 24 janvier, il s’est retiré des assemblées de Sorbonne consacrées à l’examen de la Seconde lettre d’Arnauld, ayant estimé, avec trente et un autres docteurs, que la liberté de parler leur avait été ôtée. Il tient pour nul tout ce qui se fera dans ces réunions. En représailles, et parce qu’il refuse de souscrire à la condamnation d’Arnauld, Charles Nonet sera radié de la faculté.

31 janvier 16556. Une copie de la censure est envoyée à Arnauld

BAUDRY DE SAINT-GILLES D’ASSON Antoine, Journal d’un solitaire de Port-Royal, éd. Ernst et Lesaulnier, Paris, Nolin, 2008, p. 154. Sa réaction.

FONTAINE Nicolas, Mémoires, éd. Thouvenin, Paris, Champion, 2001, p. 634-643. État d’esprit d’Arnauld à ce moment.

31 janvier 1656. Lettre de Saint-Amour à Arnauld sur l’accueil reçu par la première Provinciale

SAINTE-BEUVE, Port-Royal, III, VII, éd. Leroy, t. 2, Pléiade, p. 85. Saint-Amour n’a pas caché qu’elle était l’œuvre d’un laïque.

Voir le dossier sur la première Provinciale.

31 janvier 1656. Lettre d’Antoine Arnauld à la mère Angélique de Saint-Jean

OC III, éd. J. Mesnard, p. 448. Voir le texte p. 473 sq. Arnauld se propose d’apprendre à lire à un enfant selon la méthode de Pascal.

Fin janvier 1656. Époque à laquelle Pascal se cache sans doute à l’auberge du Roi David, rue des Poirées, près de la Sorbonne.

OC III, éd. J. Mesnard, p. 448.

1er février 1656. La Sorbonne décide de faire signer la condamnation d’Arnauld par les bacheliers de la licence courante

GRES-GAYER Jacques M., Le jansénisme en Sorbonne, 1643-1656, p. 183.

1er février 1656. Le Maistre vient rejoindre Arnauld à Paris

OC III, éd. J. Mesnard, p. 469.

JOUSLIN Olivier, Pascal et le dialogue polémique, p. 1054.

Février 1656. Lettre d’Arnauld à M. de Liancourt

ARNAULD Antoine, Œuvres, I, p. 102. Arnauld remercie Liancourt de son action dans l’affaire de la censure.

2 février 1656. Arrestation de Savreux, soupçonné d’avoir imprimé la première Provinciale

Sur Charles Savreux, voir l’article Savreux du Dictionnaire de Port-Royal, p. 919.

GEF IV, p. 187. Interventions du pouvoir politique après le succès des deux premières Provinciales ; voir aussi p. 188 sq.

OC I, éd. J. Mesnard, p. 470 sq. Journal de Saint-Gilles du 2 février 1656, sur l’emprisonnement de Savreux, le 2 février vers 11 heures et demi. On laisse deux hommes de garde chez lui. Sa femme et lui sont interrogés par le lieutenant-criminel Tardieu : p. 471.

SAINTE-BEUVE, Port-Royal, III, VII, éd. Leroy, t. 2, Pléiade, p. 79 sq., l’arrestation de Savreux, 2 février 1656. Récit de Beaubrun sur les problèmes posés par les mésaventures de Savreux.

ARNAULD Antoine, Œuvres, XIX, p. LXIII.

2 février 1656. Réponse du Provincial aux deux premières lettres de son ami

SAINTE-BEUVE, Port-Royal, III, VII, t. 2, p. 87-89. Identifie les auteurs comme Chapelain et Mme. de Scudéry.

RAPIN René, Mémoires, II, éd. Aubineau, p. 258.

DANIEL Gabriel, Entretiens de Cléandre et d’Eudoxe, p. 20, penche pour Gomberville.

RACINE Jean, Lettre à l’auteur des hérésies imaginaires ; voir PICARD Raymond, Racine polémiste, p. 110.

NOUËT Jacques, Seconde réponse, in Réponses, éd. de 1658, p. 43 sq.

VIALA Alain, Naissance de l’écrivain, p. 173 sq.

DUCHÊNE Roger, L’imposture littéraire..., 2e éd., p. 73 sq.

2 février 1656. Arrestation de Savreux, soupçonné d’avoir imprimé la première Provinciale

GEF IV, p. 187. Interventions du pouvoir politique après le succès des deux premières Provinciales ; voir aussi p. 188 sq.

OC III, éd. J. Mesnard, p. 448.

ARNAULD Antoine, Œuvres, XIX, p. LXIII. Savreux est soupçonné d’avoir imprimé la protestation d’Arnauld ; il est conduit à la Bastille avec sa femme et ses enfants.

SAINTE-BEUVE, Port-Royal, III, VII, éd. Leroy, t. 2, p. 79, l’arrestation de Savreux, 2 février 1656 ; p. 80. Récit de Beaubrun. Les problèmes posés par Savreux et ses mésaventures.

OC I, éd. J. Mesnard, p. 470 sq. Journal de Saint-Gilles du 2 février 1656, sur l’emprisonnement de Savreux, le 2 février vers 11 heures et demi. On laisse deux hommes de garde chez lui. Sa femme et lui sont interrogés par le lieutenant-criminel Tardieu : p. 471.

BAUDRY DE SAINT-GILLES D’ASSON Antoine, Journal d’un solitaire de Port-Royal, éd. Ernst et Lesaulnier, Paris, Nolin, 2008, p. 155. Chronologie des emprisonnements de Savreux : p. 155.

JOUSLIN Olivier, Pascal et le dialogue polémique, p. 1054.

Dictionnaire de Port-Royal, p. 919.

3 février 1656. La femme de Savreux remise en liberté

BAUDRY DE SAINT-GILLES D’ASSON Antoine, Journal d’un solitaire de Port-Royal, éd. Ernst et Lesaulnier, Paris, Nolin, 2008, p. 156.

3 février 1636. Poursuites contre Petit et Desprez

BAUDRY DE SAINT-GILLES D’ASSON Antoine, Journal d’un solitaire de Port-Royal, éd. Ernst et Lesaulnier, Paris, Nolin, 2008, p. 156 sq. Les scellés mis sur l’imprimerie de Le Petit ont été levés sur l’intervention du premier président Pomponne de Bellièvre.

OC III, éd. J. Mesnard, p. 448.

4 février 1656.

BAUDRY DE SAINT-GILLES D’ASSON Antoine, Journal d’un solitaire de Port-Royal, éd. Ernst et Lesaulnier, Paris, Nolin, 2008, p. 157.

4 février 1656. Lettre d’Arnauld d’Andilly à Claude Auvry, évêque de Coutances

Arnauld d’Andilly défenseur de Port-Royal (1654-1659). Sa correspondance inédite avec la Cour conservée dans les Archives du Ministère des Affaires Etrangères, éd. P. Jansen, Vrin, Paris, 1973, p. 75 sq. Arnauld d’Andilly est venu à Paris pour assister aux séances de la faculté de théologie lors du jugement de son frère. Il regrette le refroidissement qui s’est installé entre lui et C. Auvry : p. 76, avec la note explicative. En même temps, il tente de rétablir les liens : pendant que Pascal s’occupe de l’opinion publique avec les Provinciales, Arnauld d’Andilly se charge de la cour ; mais pour entrer en correspondance avec Mazarin, il a besoin de l’intermédiaire de C. Auvry.

5 février 1656. Savreux transféré de prison au Châtelet

BAUDRY DE SAINT-GILLES D’ASSON Antoine, Journal d’un solitaire de Port-Royal, éd. Ernst et Lesaulnier, Paris, Nolin, 2008, p. 158. Bagnols, Bernières, Le Nain et de Beaumont s’activent pour le faire libérer. Cornet et Morel se sont fait donner mission d’examiner les papiers trouvés chez Savreux.

GEF IV, p. 189.

Dictionnaire de Port-Royal, p. 919.

Lettre de Pontchâteau à Saint-Gilles du 9 février 1656, in BAUDRY DE SAINT-GILLES D’ASSON Antoine, Journal d’un solitaire de Port-Royal, éd. Ernst et Lesaulnier, Paris, Nolin, 2008, p. 251.

5 février 1656. La seconde Provinciale commence à paraître

JOUSLIN Olivier, Pascal et le dialogue polémique, p. 1054. Selon Saint-Gilles.

OC III, éd. J. Mesnard, p. 448.

5 février 1656. Lettre de Holden à Fréret, curé de Saint-Nicolas du Chardonnet

ARNAULD Antoine, Œuvres, XIX, p. LXIV. Holden y donne son opinion sur la question de droit.>

5 février 1656. Contrat réglant l’installation de Mme de Sablé dans un appartement à Port-Royal

Dictionnaire de Port-Royal, article Mme de Sablé.

Dimanche 6 février 1656. Du Saussay, évêque de Toul, proclamé grand Vicaire du cardinal de Retz

BAUDRY DE SAINT-GILLES D’ASSON Antoine, Journal d’un solitaire de Port-Royal, éd. Ernst et Lesaulnier, Paris, Nolin, 2008, p. 158. Du Saussay, évêque de Toul, proclamé grand Vicaire du cardinal de Retz. Il est favorable à Port-Royal.

OC III, éd. J. Mesnard, p. 448.

HERMANT, Mémoires, III, Paris, 1906, p. 7-8.

Des assemblées de Docteurs partisans d’Arnauld se font à plusieurs reprises pour protester contre la censure

BAUDRY DE SAINT-GILLES D’ASSON Antoine, Journal d’un solitaire de Port-Royal, éd. Ernst et Lesaulnier, Paris, Nolin, 2008, p. 159. A la date des 7-8 février 1656. Raisons pour lesquelles il n’en sort que peu de choses, notamment “par des raisons de parenté et de subsistance temporelle”.

7 février 1656. Lettre de Cosimo Brunetti sur les intrigues des jésuites et du cardinal Albizzi à Rome

BAUDRY DE SAINT-GILLES D’ASSON Antoine, Journal d’un solitaire de Port-Royal, éd. Ernst et Lesaulnier, Paris, Nolin, 2008, p. 175-176.

8 février 1656. Arnauld s’installe à l’hôtel des Ursins

MESNARD Jean, « Pierre Nicole ou le janséniste malgré lui », Chroniques de Port-Royal, n°45, 1996, p. 237. Les bâtiments de l’hôtel des Ursins forment à eux seuls tout un quartier isolé au Nord de l’île de la Cité. Il a alors autour de lui, outre Fontaine, Le Maistre, Arnauld de Luzancy et Saint-Gilles. Ce n’est que lorsque les Solitaires des Champs ont été dispersés, autour du 20 mars, et peut-être un peu plus tard, que Nicole rejoint le groupe. C’est le début de la collaboration entre Nicole et Arnauld.

8 février 1656. Saint-Gilles quitte Port-Royal des Champs pour suivre Arnauld, Luzancy et Le Maître dans leurs cachettes

BAUDRY DE SAINT-GILLES D’ASSON Antoine, Journal d’un solitaire de Port-Royal, éd. Ernst et Lesaulnier, Paris, Nolin, 2008, p. 159.

OC III, éd. J. Mesnard, p. 448 et 469.

JOUSLIN Olivier, Pascal et le dialogue polémique, p. 1054.

8 février 1656, Basseville. Lettre de dom Jean-Baptiste Boué à Florin Périer

OC III, éd. J. Mesnard, p. 449.

9 février 1656. PASCAL, Troisième lettre écrite à un Provincial, 9 février 1656.

>OC III, éd. J. Mesnard, p. 449.

BAUDRY DE SAINT-GILLES D’ASSON Antoine, Journal d’un solitaire de Port-Royal, éd. Ernst et Lesaulnier, Paris, Nolin, 2008, p. 163. Mise en circulation le 12 février.

JOUSLIN Olivier, « Rien ne nous plaît que le combat ». La campagne des Provinciales de Pascal. Étude d’un dialogue polémique, I, Clermont-Ferrand, Presses Universitaires Blaise Pascal, 2007, p. 101 sq.>

9 février 1656. Lettre de Pontchâteau à Saint-Gilles

Lettre de Pontchâteau à Saint-Gilles du 9 février 1656, in BAUDRY DE SAINT-GILLES D’ASSON Antoine, Journal d’un solitaire de Port-Royal, éd. Ernst et Lesaulnier, Paris, Nolin, 2008, p. 250 sq.

Février 1656. Arnauld Antoine, Eclaircissement de cette question morale et ecclésiastique, si un docteur ou un bachelier peut en sûreté de conscience souscrire une censure, qui condamne comme hérétique et impie une proposition qu’il sait être véritable et catholique, et traite comme criminelle une personne qu’il croit innocente

LE GUERN Michel, Pascal et Arnauld, p. 105 sq. Les réflexions sur saint Athanase sont, selon Le Guern, une ébauche de l’Eclaircissement de cette question morale et ecclésiastique, si un docteur ou un bachelier peut en sûreté de conscience souscrire une censure, qui condamne comme hérétique et impie une proposition qu’il sait être véritable et catholique, et traite comme criminelle une personne qu’il croit innocente (février 1656) d’Arnauld, notamment § XII. Extraits de ce texte.

10 février 1656. Discussion en Sorbonne, après le souper, entre docteurs augustiniens et molinistes

Journal de Pontchâteau, in BAUDRY DE SAINT-GILLES D’ASSON Antoine, Journal d’un solitaire de Port-Royal, éd. Ernst et Lesaulnier, Paris, Nolin, 2008, p. 253. Morel déclare que c’est la manière des hérétiques d’écrire contre les décrets de la Faculté, et que Calvin en a usé ainsi. Emportement de Morel, qui traite Meusnier et Quéras d’hérétiques.

11 février 1656. L’acte de protestation contre la censure est achevé chez Pontchâteau

BAUDRY DE SAINT-GILLES D’ASSON Antoine, Journal d’un solitaire de Port-Royal, éd. Ernst et Lesaulnier, Paris, Nolin, 2008, p. 162.

11 février 1656. Tentative d’accommodement du P. Fronteau

BAUDRY DE SAINT-GILLES D’ASSON Antoine, Journal d’un solitaire de Port-Royal, éd. Ernst et Lesaulnier, Paris, Nolin, 2008, p. 162.

12 février 1656. Publication de la troisième Provinciale

>OC III, éd. J. Mesnard, p. 449. Vif succès.

BAUDRY DE SAINT-GILLES D’ASSON Antoine, Journal d’un solitaire de Port-Royal, éd. Ernst et Lesaulnier, Paris, Nolin, 2008, p. 163.