BAUNY Étienne

BAUNY Étienne, Somme des péchés qui se commettent en tous états…, 1640, en est à sa 6é édition en1641, ce qui témoigne que les acheteurs n’ont pas été que des théologiens sévères.

Indications biographiques et bibliographiques

PILLORGET René et Suzanne, France baroque, France classique, 1589-1715, II, Dictionnaire, Paris, Robert Laffont, 1995, p. 93 sq.

D’AVRIGNY le P., Mémoires chronologiques et dogmatiques, pour servir à l’Histoire ecclésiastique depuis 1600 jusques en 1716 avec des réflexions et des remarques critiques, sl, sn, 1739, II, p. 158 sq.

PASCAL, Œuvres complètes, éd. Lafuma, L’Intégrale, Seuil, Paris, 1963, p. 651. Notice.

SOMMERVOGEL, Bibl. Comp. de Jésus, I, col. 1058-1060. Supp. c. 112 et 947.

PASCAL, Œuvres, I, éd. Le Guern, p. 1162-1163, note.

DANIEL Gabriel, Entretiens de Cléandre et d'Eudoxe, p. 161 sq.

DUCHÊNE Roger, L’Imposture littéraire dans les “Provinciales” de Pascal, p. 102 sq. et p. 132 sq.

Les Provinciales, éd. Cognet, p. IX.

L'innocence persécutée. Dialogues, Edition critique établie par Marie-Françoise Baverel-Croissant, Publications de l'Université de Saint-Etienne, 2002.

Né en 1575 à Mouzon (Ardennes), mort le 3 décembre 1649 au couvent des Carmes de Saint Pol de Léon, Étienne Bauny entre à la Compagnie à 19 ans, où il enseigne les belles-lettres onze ans durant et la théologie morale pendant 16 ans. Le cardinal de La Rochefoucauld a choisi Bauny comme directeur spirituel et M. de Rieux, évêque de Léon, l'obtient de Vitelleschi pour l'aider dans l'administration de son diocèse. Le P. Bauny a aussi composé une Theologia moralis, Paris, 1640-1642, 2 vol, in f°. PASCAL, Œuvres complètes, éd. Lafuma, L’Intégrale, Seuil, Paris, 1963, p. 651 ; PASCAL, Œuvres, I, éd. Le Guern, p. 1162-1163. Il est mort le 3 décembre 1649 au couvent des Carmes de Saint Pol de Léon.

Trois ouvrages de Bauny furent mis à l’Index en septembre et décembre 1640.

Histoire de la censure du livre du P. Bauny : GAY Jean-Pascal, Morales en conflit. Théologie et polémique au Grand Siècle (1640-1700), Paris, Cerf, 2011, p. 121 sq.

Les propositions de Bauny déférées à Rome sont condamnées (26 octobre 1640). Le livre est mis à l'Index le 26 septembre 1640 ; voir DE BUJANDA J. M., Index librorum prohibitorum, 1600-1966, Médiaspaul, Droz, 2002, p. 14. Le 15 novembre 1640, la Faculté de théologie de Paris décide l’examen de la Somme du P. Bauny : voir sur ce point GAY Jean-Pascal, Morales en conflit. Théologie et polémique au Grand Siècle (1640-1700), Paris, Cerf, 2011, p. 121. La censure est donnée par la Faculté de Théologie le 1er avril 1641, mais sans publication. Le 1er août 1641, le chancelier fait savoir à la Faculté qu’il défend de publier une censure contre Bauny : p. 122. La faculté sollicite Richelieu. Mais la volonté du pouvoir de ne pas voir aboutir la censure ne supprime pas le débat. Un extrait de ses propositions circule et est publié : p. 122. Manœuvres pour le tirer d’affaire : p. 126 sq. Le Catalogus authorum quos cum P. Bauny doctor theologus censura notandos judicavit : p. 126. Une autre censure par l'Assemblée du Clergé date du 12 avril 1642, à Mantes. La condamnation par la Faculté de Louvain date des 6 septembre et 8 octobre 1659. Voir GEF IV, p. 243 sq. ; ARNAULD Antoine, Seconde lettre...; Provinciales, éd. Cognet, p. 56. L’estime qu’Arnauld portait au livre du p. Bauny paraît dans ce passage de la Seconde lettre à un duc et pair, p. 57 : « Les livres de la Théologie morale du P. Bauny ont été censurés à Rome, et par l’assemblée générale du Clergé de France tenue à Mante le 12 Avril 1642 comme portant les âmes au libertinage (ce sont les termes de la censure) à la corruption des bonnes mœurs, et violant l’équité naturelle et le droit des gens, excusant les blasphèmes, usures, simonies et plusieurs autres péchés des plus énormes comme légers, et jetant des semences de division entre les Prélats de l’Église. »

La Somme des péchés du P. Bauny

GAY Jean-Pascal, Morales en conflit. Théologie et polémique au Grand Siècle (1640-1700), Paris, Cerf, 2011, p. 119 sq. Le P. Bauny entre dans la Compagnie de Jésus le 20 juillet 1593. La Somme est écrite en français, ce qui brouille son statut : elle ne s’adresse pas seulement aux clercs, mais aussi aux laïcs pour les rendre capables de résoudre des problèmes de conscience : p. 120. Les approbations : p. 120. Histoire de la censure du livre du P. Bauny : p. 121 sq. Le 1er août, le chancelier fait savoir à la Faculté qu’il défend de publier une censure contre Bauny : p. 122. La faculté sollicite Richelieu. La volonté du pouvoir de ne pas voir aboutir la censure ne supprime pas le débat. Un extrait de ses propositions circule et est publié : p. 122. Manœuvres pour le tirer d’affaire : p. 126 sq. Le Catalogus authorum quos cum P. Bauny doctor theologus censura notandos judicavit : p. 126.

GEF IV, p. 244, sur la Somme des péchés.

BAUNY Etienne, Somme des péchés qui se commettent en tous états. De leurs conditions et qualités. En quelles occurrences ils sont mortels ou véniels, chez M. Soly, Paris, 1634, 1122 p. in-8°. (BN : D.13758). La Somme des péchés a été mise à l’Index le 26 septembre 1640 ; d’après FOUQUERAY, Histoire..., V, p. 417 , le décret de condamnation de l’Index est du 26 octobre 1640, et enveloppe aussi la Pratique du droit canonique du P. Bauny. Voir GEF IV, p. 243 sq. ; ARNAULD Antoine, Seconde lettre... ; Provinciales, éd. Cognet, p. 56. Le livre est daté de 1634 ; mais il a eu plusieurs tirages, deux tirages en 1638 et en 1639 à Paris, et un à Lyon en 1646. Le 1er avril 1641 , ou selon Fouqueray lors de sa séance du 12 avril 1641, l’Assemblée du clergé a censuré ce livre fit aussi prier le pape d’interposer son autorité pour qu’on n’écrivît plus sur les cas de conscience en langue vulgaire. La Faculté de Théologie, dans sa séance du 1er juillet 1641, s’est fait lire quatorze propositions de ce livre. Mais une intervention du chancelier empêcha la publication de la censure : il se fit donner copie des propositions et interdit à la Faculté de rien publier avant qu’il en eût écrit au roi et à Richelieu. Les docteurs tentèrent de s’adresser au cardinal pour faire lever la défense, mais en 1644 la censure n’avait pas encore pari. Une autre censure a été prononcée par l’Assemblée du Clergé, le 12 avril 1642, à Mantes, contre trois livres du P. Bauny, sans doute la Somme des péchés, la Pratique du droit canonique (1633) et la Théologie morale (1640) en ces termes : “pour ceux du P. Bauny (...), ils portent les âmes au libertinage, à la corruption des bonnes mœurs, et violent l’équité naturelle et le droit des gens, excusent les blasphèmes, usures, simonies, et plusieurs péchés des plus énormes, comme légers, et jettent des semences de division entre les prélats de l’Eglise desquels ils tâchent d’anéantir toute l’autorité”. Voir PASCAL, Œuvres, I, éd. Le Guern, p. 1162-1163 et p. 1303. La Faculté de Louvain a condamné le livre les 6 septembre et 8 octobre 1659. Voir sur ce livre SOMMERVOGEL, Bibl. Comp. de Jésus, I, col. 1058-1060. Supp. c. 112 et 947.

La Somme des péchés qui se commettent en tous états. De leurs conditions et qualités. En quelles occurrences ils sont mortels ou véniels, chez M. Soly, Paris, 1633, a deux tirages en 1638 et en 1639 à Paris et un à Lyon en 1646. La composition hétéroclite du livre est imposée par son double objet: les premiers destinataires sont des confesseurs pour lesquels Bauny veut établir un code des péchés et un guide pour résoudre les cas, c'est-à-dire un public de spécialistes. Mais il vise aussi le public mondain; il écrit donc, en langue vulgaire, une revue des catégories socio-professionnelles. Adepte du probabilisme, il se tourne vers des docteurs de tous bords, recourt aux textes sacrés, aux docteurs, saint Augustin compris, à Aristote, au droit pénal; mais les favoris sont les casuistes, des jésuites, tous étrangers. Il ne se gêne pas pour accepter des avis contradictoires, et pour conseiller au lecteur d'en faire autant; il va plus loin dans la Theologia moralis, Paris, 1640-1642, 2 vol, in f°, où il fait, sous la caution de Suarez, Vasquez et Sanchez, obligation aux confesseurs d'absoudre tout pénitent qui se réclame d'une opinion probable. Ses techniques casuistiques sont la distinction et la direction d'intention. Bauny fait un effort surtout en direction de l'aristocratie, mais il tente de toucher aussi les petites gens, non seulement en leur enseignant la facilité, mais en adaptant son propos à leurs usages et à leur mentalité. La Somme est un ouvrage laxiste par son art de définir le péché de telle sorte qu'il n'existe presque plus de pécheurs.

GAY Jean-Pascal, Morales en conflit. Théologie et polémique au Grand Siècle (1640-1700), Paris, Cerf, 2011, p. 119 sq. La Somme est écrite en français, ce qui brouille son statut : elle ne s’adresse pas seulement aux clercs, mais aussi aux laïcs pour les rendre capables de résoudre des problèmes de conscience : p. 120.

BERTAUD Madeleine, “A propos des Provinciales ; la Somme des Péchés du Père Bauny”, L’Information littéraire, sept.-oct. 1983, n°4, p. 142-148. Bauny dénoncé ans relâche par Port-Royal ; la Somme paraît en 1634 et connaît un vif succès ; réimpression en 1638 et 1639 ; réédition à Lyon : p. 142. L’ouvrage a 46 chapitres : p. 143. Les superstitions, blasphèmes et malédictions, jeûne, mariage, etc. Le vol : ch. X-XIII. Obligations et manquements des gens d’Église : XX-XXV. Censures et excommunications, et leur absolution : ch. XXIX-XXXV. Ce que doit savoir le confesseur : ch. XXXVIII-XLVI. Revue des péchés en posant pour chaque péché la question de sa gravité selon la fréquence et la manière dont il a été commis. La composition hétéroclite du livre est imposée par son double objet : les premiers destinataires sont des confesseurs pour lesquels Bauny veut établir un code des péchés et un guide pour résoudre les cas, c’est-à-dire un public de spécialistes. Mais le P. Bauny vise aussi le public mondain : l’homme de Dieu a vocation pour diriger les consciences ; il a une autorité que n’a pas le laïc, et les jésuites voulaient user de la puissance que leur donnait leur robe : p. 143. Livre écrit « en langue commune et vulgaire » : p. 144. D’où la revue des catégories socio-professionnelles. Bauny est adepte du probabilisme : p. 144. Il se tourne vers des docteurs de tout bord. Recours aux textes sacrés, décrets, aux docteurs, saint Augustin compris, aux laïcs et au droit pénal, jusqu’à Aristote. Mais ses favoris sont les casuistes modernes, tous étrangers et jésuites pour la plupart. Il ne se gêne pas pour accepter des avis contradictoires, et pour conseiller au lecteur d’en faire autant ; il va plus loin dans la Theologia moralis, où il fait, sous caution de Suarez, Vasquez et Sanchez, obligation aux confesseurs d’absoudre tout pénitent qui se réclame d’une opinion probable. Sur les vols, Bauny abaisse la barre qui en fait des péchés mortels ; de 5 sols chez Navarre, à 2 écus chez Rodriguez (p. 129-130 de l’éd. De 1645, 6e éd.). petits larcins répétés : ils s’accumulent et celui qui finalement amène au seuil indiqué ci-dessus, est mortel selon l’opinion commune : mais selon Navarre, il n’est que véniel : p. 143. Les vols répétés ne s’accumulent plus lorsqu’un temps suffisant les sépare, variable selon les casuistes. Les opinions probables permettent de composer avec la rigueur évangélique. Abus et extravagances : Bauny considère les actes sexuels avec “effusion de semence” commis dans une église comme sacrilège, mais il signale que d’autres pensent que “l’action vilaine, qui se fait au Temple ou au lieu saint, ne le profane, si elle n’est faite en vue et au su de plusieurs, et qu’ainsi elle ne participe pas à la malice du sacrilège, si on l’ignore, pource que l’on s’y est porté en cachette” : p. 124-125.

FOUQUERAY, Histoire de la compagnie de Jésus, V, p. 416 sq. La Somme des péchés. Histoire des censures. Mise à l’index du 26 octobre 1640. La séance du 12 avril 1641 à l’assemblée du clergé : p. 417. La séance du 1er juillet 1641 à la faculté de théologie de Paris : p. 417.

DANIEL Gabriel, Entretiens de Cléandre et d’Eudoxe, p. 161 sq. Sur la condamnation du livre de Bauny à Rome et par les évêques de France.

Aspects littéraires et rhétoriques

Techniques casuistiques : la distinction, la direction d’intention. Voir ch. VII, sur les péchés contre la charité du prochain, et XXXIX (comment il se pourra connaître si une action est mortelle, ou bien vénielle) ; le casuiste conserve la sévérité traditionnelle : l’envie, de sa nature, est mortelle. Pas de laxisme là-dessus. Mais il y a envie et envie : si elle vise les biens temporels d’autrui ; dont le chrétien sait que ce ne sont que des vanités, la peine de damnation serait excessive. “péché lequel, quoiqu’au témoignage de saint Augustin il soit contraire à la charité, toutefois il ne me semble pas mortel ; car le bien qui se trouve es choses temporelles est si mince et de si peu de conséquences pour le Ciel, qu’il est de nulle considération devant Dieu et ses saints” (p. 80). Reste l’envie inspirée par les biens spirituels. Distinctions minimalisantes.

Cas de la direction d’intention : p. 145-146. L’envie qui vient de ce qu’on a peur que l’autre n’abuse de ses avantages, est innocente : p. 146. « S’éjouir du mal d’autrui, le vouloir sous quelque bon motif, comme de la gloire de Dieu, laquelle il va renversant par ses crimes, du bien et de l’avancement du prochain, qu’il perd et ruine par sa mauvaise vie, c’est un bon œuvre » (p. 83). L’envie devenue une vertu…

Poétique de Bauny : il entendait rallier une large clientèle, mais le projet était-il criminel ? Les adversaires des jésuites leur reprochent de ne s’intéresser qu’aux grands : p ; 146. Bauny consacre de nombreuses pages de leçons aux nobles, mais c’est chez Hurtado de Mendoza et Laymann que Pascal trouve des préceptes sur les duels. Bauny fait un effort surtout en direction de l’aristocratie, mais il tente de toucher aussi les petites gens, non seulement en leur enseignant la facilité, mais en adaptant son propos à leurs usages et à leur mentalité. La Somme est un ouvrage laxiste par son art de définir le péché de telle sorte qu’il n’existe presque plus de pécheurs. Le cardinal de La Rochefoucauld a choisi Bauny comme directeur spirituel et M. de Rieux, évêque de Léon, l’obtient de Vitelleschi pour l’aider dans l’administration de son diocèse.

Son livre, la Somme des péchés qui se commettent en tous états. De leurs conditions et qualités. En quelles occurrences ils sont mortels ou véniels, chez M. Soly, Paris, 1633, 1122 p. in-8°. (BN : D.13758), a deux tirages en 1638 et en 1639 à Paris ; un à Lyon en 1646. Ses propositions déférées à Rome sont condamnées (Index, 26 octobre 1640). Mis à l’Index le 26 septembre 1640 ; censuré par la Faculté de Théologie le 1er avril 1641, mais sans publication. Autre censure par l’Assemblée du Clergé, le 12 avril 1642, à Mantes. Condamnation par la Faculté de Louvain : 6 septembre et 8 octobre 1659. Voir GEF IV, p. 243 sq. ; ARNAULD Antoine, Seconde lettre... ; Provinciales, éd. Cognet, p. 56. La composition hétéroclite du livre est imposée par son double objet : les premiers destinataires sont des confesseurs pour lesquels Bauny veut établir un code des péchés et un guide pour résoudre les cas, c’est-à-dire un public de spécialistes. Mais il vise aussi le public mondain ; il écrit donc, en langue vulgaire, une revue des catégories socio-professionnelles. Adepte du probabilisme, il se tourne vers des docteurs de tous bords, recourt aux textes sacrés, aux docteurs, saint Augustin compris, à Aristote, au droit pénal ; mais les favoris sont les casuistes, des jésuites, tous étrangers. Il ne se gêne pas pour accepter des avis contradictoires, et pour conseiller au lecteur d’en faire autant ; il va plus loin dans la Theologia moralis, où il fait, sous caution de Suarez, Vasquez et Sanchez, obligation aux confesseurs d’absoudre tout pénitent qui se réclame d’une opinion probable. Techniques casuistiques : la distinction, la direction d’intention. Bauny fait un effort surtout en direction de l’aristocratie, mais il tente de toucher aussi les petites gens, non seulement en leur enseignant la facilité, mais en adaptant son propos à leurs usages et à leur mentalité. La Somme est un ouvrage laxiste par son art de définir le péché de telle sorte qu’il n’existe presque plus de pécheurs. Le cardinal de La Rochefoucauld a choisi Bauny comme directeur spirituel et M. de Rieux, évêque de Léon, l’obtient de Vitelleschi pour l’aider dans l’administration de son diocèse.

15 novembre 1640. La Faculté de théologie de Paris décide l’examen de la Somme du P. Bauny

GAY Jean-Pascal, Morales en conflit. Théologie et polémique au Grand Siècle (1640-1700), Paris, Cerf, 2011, p. 121.

BAUNY Etienne, Theologia moralis, Paris, 1640-1642, 2 vol, in f°.

GEF V, p. 14.

Ne pas confondre avec Pierre Bauny (voir la fiche à son nom)

26 octobre 1640. Mise à l’Index de la Somme des péchés du P. Bauny

GAY Jean-Pascal, Morales en conflit. Théologie et polémique au Grand Siècle (1640-1700), Paris, Cerf, 2011, p. 120.

15 novembre 1640. La Faculté de théologie de Paris décide l’examen de la Somme du P. Bauny

GAY Jean-Pascal, Morales en conflit. Théologie et polémique au Grand Siècle (1640-1700), Paris, Cerf, 2011, p. 121.